Il y a peu de femmes russes qui connaissent le monde francophone et encore moins de Français, de Belges ou de Québécois qui connaissent le monde slave, l’Ukraine ou la Russie. Avec la perte de vitesse de la langue française, les Slaves parlent beaucoup moins le français qu’autrefois, ce n’est plus que la 4^e langue étrangère en ordre de choix en Russie ou en Ukraine. Quant à la langue russe, bien qu’elle soit à la 9^e place des langues les plus parlées dans le monde, et dans le top 10 des langues influentes, il y a un rejet de la Russie qui est généré par la situation géopolitique et par une déformation permanente des médias. Ceci fait que les femmes slaves, russes et ukrainiennes n’ont pas conscience souvent de la question de l’argent dans les pays occidentaux. Et parmi eux, les Français sont un cas à part, car la France bien que dans les pays les plus riches du Monde, est un pays en crise permanente depuis 4 décennies, avec des revenus et PIB faibles par rapport aux standards observés en Luxembourg, Suisse ou Québec, tous les trois pays francophones.

A l’Agence matrimoniale du CQMI nous avons remarqué de longues dates que l’argent est un problème qui peut détruire totalement l’expérience de certains hommes en Ukraine ou en Russie. Et à l’inverse des femmes d’Ukraine ou de Russie ne comprennent absolument rien à la situation des hommes français et occidentaux, par le prisme déformant d’une autre vision médiatique faussée, par l’éducation qu’elles ont reçue, par le poids de l’histoire soviétique, par le poids aussi des événements, des crises, notamment et surtout dans la turbulente et troublée Ukraine. Les différences de perceptions de ce qu’est l’argent, de ce que l’on peut en faire, de l’épargne, des banques et des salaires, sont telles, qu’elles peuvent être mères de conflits, et d’incompréhensions cruelles et idiotes entre deux personnes telles qu’un homme francophone et une femme slave. Les débuts d’une relation amoureuse mixte avec une slave sont en effet un moment capital un instant court et décisif où tout doit parfaitement s’imbriquer sous peine de semer quelques mauvaises mortelles pour la suite de l’aventure.

L’image de la femme russe en France

En Occidentaux, il existe aussi une énorme image négative de la femme russe par rapport à l’argent, et nous sommes en lutte permanente à l’Agence CQMI contre certains de ces stéréotypes méchants et profondément injustes. Selon ces rumeurs, ces idées préconçues, ces ragots de comptoir, la femme russe, ukrainienne, slave serait donc une femme vénale, intéressée par l’argent, ne vivant que par lui, pour lui et dans l’idée du luxe, des biens matériels… Rien n’est plus faux et dans tous les pays du monde, il existe effectivement de tels gens, mais la proportion en Ukraine ou en Russie n’est pas et loin s’en faut plus importante qu’en Occident. Les femmes russes donc, ne sont pas intéressées plus que cela par l’argent, elles veulent des maris honnêtes, travailleurs, fidèles, aimants, gentils, attentionnées… et qui sont à la maison le soir, sans addictions, sans tabac ou alcool. Certains reportages pendables et malhonnêtes ont montré des femmes slaves de cet acabit, mais la télévision, comme partout, n’a qu’un intérêt, montré de l’exceptionnel, du sang, de la violence, du sexe, de l’inhabituel, transformant ainsi des situations anormales, en des standards martelés comme vrais et avérés ! Parmi les hommes français qui ont pris les choses à rebours, en faisant preuve de générosités, nous ne pouvons que vous recommander de voir la vidéo de Cédric (été 2018).

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